Bonheur et réussite

Nous nous mettons bien souvent des objectifs qui conditionnent notre niveau de bonheur : « quand j’aurais décroché ce job, je serais enfin heureux-se et fier-e de moi », « quand j’aurais perdu 2 kilos, je pourrais enfin me sentir bien dans mon corps » … La liste est longue. Quand l’objectif est atteint, nous nous empressons d’en trouver un nouveau qui conditionnera à son tour notre droit au bonheur. En d’autres termes, la réussite serait la clé du bonheur.

« Travaille dur et tu auras du succès. Une fois que tu auras du succès, tu seras heureux » 

Et si on changeait notre gymnastique d’esprit ?

Et si le bonheur était au contraire un facilitateur d’efficacité et de réussite ?

Et si la voie du bonheur nous traçait un boulevard vers la réussite ?

 

La psychologie positive

 

C’est en tout cas ce que prône la psychologie positive qui a été officiellement fondée à l’orée des années 2000 et qui fait grand bruit depuis une dizaine d’années. Elle constitue un courant à part entière, une discipline de la psychologie qui repose sur des recherches scientifiques rigoureuses. Elle est officiellement décrite comme « l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des gens, des groupes et des institutions ». Elle s’intéresse ainsi à ce qui rend les gens heureux, optimistes et ce qui leur procure un bien-être général plutôt que d’étudier ce qui ne va pas. Elle cherche à mettre en exergue tout ce qui favorise l'épanouissement personnel dans toutes les strates de la vie. Le fonctionnement optimal de l’être humain est ainsi étudié sous toutes ses coutures : ses expériences subjectives, ses capacités de résilience, ses traits de personnalité positives ou encore les valeurs positives véhiculés par la société.

La psychologie positive a pour objectif principal de développer et renforce l’amour de soi, de donner du sens à ses actes, de se sentir responsable de ce que l’on peut changer, et résilient face à ce qui ne peut être modifié car inévitable.

  

Neurosciences et optimisme 

 

Confettis

 

D’après les neurosciences, le fait d’être plus positif au présent favorise sans l’ombre d’un doute le fonctionnement optimal du cerveau. En cultivant un état d’esprit positif, nous pouvons travailler davantage, plus rapidement et plus intelligemment.

Il nous faut ainsi faire l’effort d’inverser nos croyances et ce que la société nous a inculqué pour découvrir ce dont nos cerveaux sont vraiment capables.

En effet, il s’avère qu’un esprit positif nous rend plus efficaces, résilients, créatifs, productifs et accroît même nos performances.

  

Positivisme et dopamine

 

Lorsque nous sommes heureux, plein d’entrain, dynamiques et gorgés d’audace, notre organisme recèle d’un neurotransmetteur appelé la dopamine.

Quand nous faisons preuve d’un grand élan de positivisme, ce messager chimique inonde notre système nerveux, potentialise nos fonctions d’apprentissage, tout en facilitant nos capacités d’adaptation.

  

« L’encodage prédictif » 

 

Certaines personnes semblent être plus chanceuses que d’autres. Pourtant la chance en tant que telle n’existe pas. Il y a ceux qui pensent avoir de la chance en s’attendant au meilleur, et ceux qui pensent ne pas avoir de chance en s’imaginant des scénarios catastrophes.

« L’encodage prédictif » est un concept qui fait écho aux travaux de la psychologie positive.  Il s’agit en tant qu’individu d’attendre des résultats favorables qui vont préparer le cerveau à tirer profit de la situation positive quand elle se présente pour de bon.

La solution pour « provoquer la chance » serait donc de trouver un moyen d'entraîner son cerveau à capter et intégrer les messages positifs pour développer sa propension à provoquer et détecter des opportunités et à savoir les saisir

 

Bonheur, joie et gratitude

 

Le bonheur est souvent considéré comme une émotion liée aux circonstances de vie, et la joie comme un moyen de se relier au monde en pratiquant la gratitude. On ne peut donc pas parler de joie sans évoquer la gratitude.

La gratitude s’avère être un antidote à ce que les chercheurs appellent la « joie répréhensive ». Il s’agit de s’imaginer des scénarios catastrophes lorsqu’on est à l’apogée d’un moment heureux, de s’imaginer une sorte de « déception perpétuelle » et de « répétition de la tragédie ».  Le risque de vivre ce scénario pessimiste peut être si effrayant pour certaines personnes, qu’elles préfèrent ne jamais ressentir la joie et rester dans un état de déception continu. Vivre déçu peut ainsi être plus simple que de ressentir de temps en temps de la déception. En pratiquant la gratitude, la vision pessimiste de l’avenir s’amenuise pour laisser place à l’optimisme et au contentement.

S’abandonner dans la joie demande de la vulnérabilité qui est le berceau du courage, de l’empathie et de la créativité qui constituent eux-mêmes le socle d’une vie personnelle et professionnelle réussies.

En somme, oser en imaginant le meilleur.

  

Pratiquer la gratitude

 

Il est possible d'entraîner notre cerveau à être plus positif en pratiquant la gratitude. S'entraîner quotidiennement signifie reconnaître que ce que nous avons est suffisant et que ce que nous faisons et ce que nous sommes est suffisant.

La gratitude peut se pratiquer de différentes manières :

  • Des listes quotidiennes d’au moins trois éléments pour lesquels nous sommes reconnaissants ;
  • Des rituels familiaux comme faire le bilan de sa journée lors du dîner en énumérant ce pourquoi nous somme reconnaissants ;
  • Des envois de messages témoignant d’une sincère gratitude à d’autres personnes.

 

En pratiquant la gratitude seulement 2 minutes par jour pendant 21 jours d’affilé, il est réellement possible de reprogrammer notre cerveau à être plus optimiste et donc plus accompli. Le cerveau s’habitue ensuite à regarder le monde de façon positive et non négative. Voir le verre à moitié plein devient un réflexe.

 

Homme levant les bras au ciel

La méditation constitue également un atout de taille. Elle permet à notre cerveau de se débarrasser de l’hyperactivité culturelle que nous avons créée en essayant d’effectuer plusieurs tâches à la fois. Le cerveau développe alors de meilleures capacités de concentration.

À noter que le fait de développer sa propension à l’optimisme ne veut pas dire nier ses problèmes et tracas comme le suggère la pensée positive popularisée par la méthode Coué qui suggère de vivre chaque situation de manière positive.

En effet, la psychologie positive n’amène pas à « voir la vie en rose » mais à avoir une vision optimiste de sa vie sans pour autant réfuter ses coups durs. Elle préconise un optimisme sain, réaliste et raisonnable.  

 

Et si j'ai besoin d'un coup de pouce pour démarrer ?   

 

Nous avons vu qu'il existe plusieurs techniques pour pratiquer la gratitude mais parfois une aide naturelle est aussi utile. Nos compléments 100% naturels sont fabriqués avec des ingrédients qui vous donnent un coup de pouce pour trouver le chemin du bonheur

    • Good Mood : contient du l-tryptophane, acide aminé précurseur de la sérotonine ainsi que de la tyrosine, acide aminé précurseur de la dopamine. C'est le neurotransmetteur du dynamisme, de l'entrain, de la vivacité et encore de l'acuité intellectuelle
    • Deep Sleep : formulé avec du l-glutamine, qui contribue à augmenter son taux de GABA, neurotransmetteur qui correspond à la stabilité et contribue à contrôler le niveau d'éveil et d'anxiété. 
    • Smart Focus : formulé avec du griffonia, source de 5-HTP acide aminé précurseur de la sérotonine. 
    • Get Relax : contient également du l-tryptophane et du millepertuis, recherché pour ses vertus antidépressives. 

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